Les termes Mo/s et Go/s désignent des vitesses de transfert de fichiers devenues courantes pour évaluer une connexion Internet.  Mais à l’origine, les débits officiels s’expriment en bits par seconde, comme dans « 30 Mbit/s » Cette vitesse de transfert qui est citée en exemple est d’ailleurs le seuil à partir duquel la connexion est qualifiée  de très haut débit.

Mais ce langage technique ne parle pas toujours à l’utilisateur ordinaire .

L’usager connaît surtout la taille de ses fichiers en octets : photos, vidéos ou documents affichent des poids en Mo ou Go. Il est donc naturel de vouloir mesurer aussi la vitesse de transfert dans la même unité : Mo/s pour mégaoctets par seconde, Go/s pour gigaoctets par seconde.

Un Mo/s équivaut à un million d’octets transmis chaque seconde. Un Go/s, c’est mille fois plus. C’est à dire, un milliard d’octets transmis par seconde. Ce calcul est plus facile à appréhender pour le grand public, car il repose sur notre système décimal, beaucoup plus intuitif que le binaire.

En effet,  l’informatique utilise une base binaire. Cela complique parfois les conversions. L’être humain, lui, compte naturellement  avec ses dix doigts. C’est pourquoi l’usage a tranché : on parle désormais souvent en Mo/s et Go/s, car cela facilite les échanges.

Un calcul simple 

Votre connexion est de 1 Gbit/s. Divisez ce débit par 8 : vous obtenez 125 Mo/s. Si vous devez transférer un fichier de 4 Go, soit 4000 Mo, il faudra environ 32 secondes pour le téléchargement.

Ce type de calcul rapide permet à chacun d’estimer les performances de son réseau sans plonger dans des formules complexes. Ce langage simplifié met tout le monde d’accord : professionnels, particuliers et technophobes peuvent enfin parler le même langage numérique.

Des limites technologiques sans cesse repoussées.

Les besoins des réseaux sont toujours plus exigeants. TERSYS , Partenaire d’Extreme Networks,  propose des solutions de pointe comme le X870, capable de gérer l’empilage haut débit à 400 Gbit/s.

Dans un monde numérique en expansion, où la densité des échanges ne cesse de croître, ces équipements préparent les entreprises aux usages de demain.